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Apprendre les codes sociaux

Le dernier congrès de la fédération de NLPNL a eu pour thème : "L'art de la PNL dans les apprentissages". En tant qu'analyste transactionnelle spécialiste de l’Éducation, j'ai proposé une réflexion sur l'apprentissage des codes sociaux. En effet, une partie de la réussite des jeunes dépend de leur intégration des codes sociaux.  Quels sont ces codes ? Comment l'AT permet-elle de réfléchir sur cette intégration ? Quels ponts faire avec la PNL ?
La civilité, adaptation positive aux règles de vie de son milieu culturel, se construit dans la jeunesse d'abord dans la famille puis à l'école et dans les groupes d'égaux. C'est un point important dans l'éducation. Nous regarderons ensemble quelques points-clés concernant les processus d'intégration des codes sociaux à partir de concepts de l'Analyse Transactionnelle avec un éclairage en PNL.
En tant qu'éducatrice je me suis intéressée aux conditions de la réussite scolaire et sociale dans une société plus ouverte et de moins en moins homogène et je me suis demandé comment il se faisait que dans les mêmes conditions économiques et sociologiques, certains jeunes réussissaient et d'autres non.
La réponse que je fais est que la réussite scolaire tient autant aux comportements qu'aux connaissances. Il en est de même pour la réussite sociale. Après le langage, ce sont les comportements qui signalent l'appartenance au groupe. Le but des éducateurs, dans un monde ouvert, est de développer chez les jeunes gens la capacité à circuler d'un groupe à l'autre et à sortir de l'enfermement de leur milieu d'origine. Le rôle des enseignants est primordial pour compléter ou parfois redresser celui de la famille en offrant des modèles plus ouverts.
Vignette de Testez vos qualités

Testez vos qualités

Gilles Pellerin avait coutume de dire dans ses ateliers, qu’il est plus utile de se focaliser sur ses talents et qualités que sur ses défauts, car c’est là que se trouve l’énergie. Ce sont des points d’ancrage solides sur lesquels s’appuyer avant de se lancer dans des projets ou de l’introspection analytique. Il est vrai que ce que nous appelons nos « défauts », -et nous reviendrons sur ce sujet dans un billet ultérieur-, sont des pistes de progression. Donc, si l’on souhaite accompagner des personnes dans leur cheminement professionnel ou personnel, il est bon de donner des signes de reconnaissance conditionnels positifs pour ancrer la personne dans ses talents, et un ou deux signes de reconnaissance conditionnels négatifs pour lui permettre de s’aventurer dans des zones de progrès, en confiance et en sécurité, grâce à la reconnaissance de ses talents.

Voici donc une liste de 24 items, inspirés de la Process communication et de la Psychosocionomie, qui vous propose, en vrac, 24 compétences, qualités, talents et ressources dont vous disposez peut-être. Ces qualités sont détaillées dans plus d’une soixantaine de comportements observables ou d’attitudes intérieures.
Je vous invite donc à surligner d’une couleur les qualités que vous pensez posséder, et d’une autre celles que vous souhaiteriez développer ou acquérir…

Bonne réflexion !

Petit quizz de vos qualités
Marielle de Miribel, O-PTSTA, formatrice certifiée en Process Communication et Psychosocionomie.
Vignette de J'aurais aimé parler chevaux avec Eric Berne

J'aurais aimé parler chevaux avec Eric Berne

Que viendraient faire les chevaux dans votre discussion, me direz-vous… ?
La particularité de mon métier est d'utiliser le cheval et l'Analyse transactionnelle pour accompagner mes clients dans leur travail de développement personnel ou professionnel. J'accompagne des particuliers, des managers, des enfants, grâce au cheval. Il n'est pas nécessaire, pour eux, d'avoir des connaissances équestres. Ils travaillent toujours à pied en présence du cheval dans un lieu sécurisé : manège ou rond de longe.
Nous passons contrat sur un objectif de travail : interroger, repérer voire dépasser des mécanismes comportementaux, plus ou moins conscients, les amenant à des résultats gênants et identifiés par eux.

Sentiment parasite et éducation

L'éducation des sentiments se fait dans la famille entre deux et quatre ans, affirme Fanita English. Maintenant que l'école commence à accueillir des tout petits dès l'âge de deux ans, il serait intéressant de se pencher sur la façon dont les enfants apprennent les sentiments et sur les conclusions que l'on peut en tirer concernant l'éducation.
L'enfant apprend de ses parents à nommer les choses, les actions, à dire ce qui se passe en lui : ses désirs, ses besoins, ses émotions, ses sentiments. C'est là que joue le filtre familial car certains désirs et certains besoins ne sont pas reconnus par la famille, certaines émotions sont rejetées et considérées comme menaçantes, certains sentiments sont bannis. Or ils existent. En revanche, d'autres sentiments sont cultivés. Ils sont l'occasion de recevoir des signes de reconnaissance. Ce sont : la religion, la culture, mais aussi l'histoire familiale qui les déterminent. Les cris et les disputes ne sont-ils pas pour les uns signe de discorde et menace de violence, pour les autres, signe de vie, d'échange joyeux et sans contrainte ? F. English insiste sur le cheminement de l'émotion à l'action. Normalement, la personne ressent une émotion qu'elle identifie. Elle a le choix de l'exprimer par des mimiques, des gestes, des paroles, des cris ou des actes. Elle peut différer l'expression, l'atténuer ou y renoncer. C'est un vrai choix. Seuls les délinquants tirent le couteau à la moindre colère.
L'éducation joue à deux niveaux : identifier et nommer qui est une mise en ordre par le langage de la confusion du monde et ensuite voir quelles sont les options et décider de son action.
Je laisserai de côté les aspects plus techniques concernant l'apprentissage des règles de la communication et la nécessaire prise de conscience par l'enfant que "l'émetteur du message n'est pas récepteur", ce qui se concrétise dans les modifications de la personne du verbe. Le langage est un des moyens de construction d'un individu qui se définit progressivement comme distinct d'autrui. La difficulté de l'adulte, face un enfant, vient de ce qu'il considère les mécanismes du langage comme "évidents". De même pour les sentiments, chacun s'imagine que son identification ne pose de problèmes à personne. C'est le mérite de F. English d'avoir attiré notre attention sur ce point. Certaines personnes en effet dans une situation où l'on s'attendrait à leur voir exprimer de la colère, fondent en larmes et montrent de la tristesse. Quand d'autres ont peur, elles se mettent en colère. L'expression n'est pas adéquate. C'est comme si la personne ignorait son sentiment réel. Dans une situation de perte ou de deuil, on peut se lancer dans des activités qui sont de l'agitation plutôt que de se laisser ressentir la douleur, de l'accepter, de l'exprimer.

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