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Vignette de 1. La délicate subtilité de l'intimité…

1. La délicate subtilité de l'intimité…

La délicate subtilité de l'intimité en psychothérapie et des questions de révélation de soi
En d'autres termes, le rôle de l'analyste n'est pas défini par son invulnérabilité, mais par sa volonté constante (bien que non permanente), et sa capacité (bien qu'imparfaite) à accepter et gérer sa vulnérabilité.(D.B. Stern, 2004, p.216)
Ben et moi avions attendu anxieusement pendant plusieurs semaines les résultats d'une série d'examens. Le spectre du cancer semblait maintenant écarté. Plusieurs personnes de son entourage avaient attendu avec lui, l'accompagnant de diverses versions de « Oh, ce n'est probablement rien …. Tout ira bien ». Ces expressions se voulaient rassurantes, mais Ben les vivait comme dévalorisantes et conciliantes. Ben ne semblait pas avoir d'autres espaces, en dehors des séances avec moi, où exprimer ses sentiments d'angoisse, de choc, et son anxiété à l'idée de laisser ses enfants sans père.

Changer cela fait peur !

Dans un précédent article, je montrais au travers de l’histoire de Mathieu, comment l’injonction « Ne réussis pas » peut bloquer une personne dans son désir d’évolution et surtout l’enfermer dans des comportements d’auto sabotage.
Je concluais mon article en montrant que pour sortir d’un blocage scénarique, il est nécessaire que la personne s’offre une permission lui permettant de sortir de l’injonction.
Cette semaine, je répondrai à Sandrine qui dans un commentaire de l’article, nous faisait part d’une de ses interrogations : « donner une permission ou aider à ce que la personne se la donne bouleverse le psychisme qui obéissait jusqu’à présent à une injonction ancrée et inconsciente. Cela peut engendrer de la peur. Cette permission doit elle être accompagnée d’une protection ? Si oui, laquelle? De quelle manière ? »

Quels sont les risques ?

Vignette de Les États du Moi en analyse transactionnelle

Les États du Moi en analyse transactionnelle

Les États du Moi est LE concept de l’Analyse Transactionnelle. L'un des premiers mis à jour par Éric Berne et en même temps l'un des piliers de la théorie : il sert d'ailleurs de logo aux analystes transactionnels.
C'est un concept impressionnant a plusieurs titres : son originalité (il ne se confond pas avec le ça, le moi et le surmoi de la psychanalyse, sa puissance concerne à la fois l'intérieur et l'extérieur de soi), sa pertinence (il permet notamment une connaissance de soi très fine), son efficacité (c'est un outil de diagnostic majeur)… La richesse de ce concept explique qu'il s'affine encore aujourd'hui. De nombreux analystes transactionnels (dont José Grégoire) font des recherches approfondies.
Éric Berne s'est aperçu qu'il y a une corrélation entre le comportement d'une personne, ce qu'elle dit et l'émotion qu'elle transmet à un moment donné. Bien souvent ce même ensemble de manifestations se reproduit de la même façon face une situation identique. Il a ainsi fait le lien entre émotion, pensée et comportement. Il s'est ensuite rendu compte, en s'appuyant sur les travaux du psychanalyste Paul Federn, qu'il était possible de regrouper ces "corpus" de manifestions en trois ensembles distincts. Parfois, la personne se comporte (voix, postures, mimiques…) comme l'un de ses parents (pas n'importe quels parents), à d'autres moments elle reprend des attitudes ou une façon de parler qu'elle a eues quand elle était petite, et enfin à d'autres moments encore elle agit comme un adulte dans le langage courant : il appellera ces trois façons d'être les États du moi.

Pour Eric BERNE : "Les Etats du Moi" sont nécessaires et suffisants pour comprendre toute l'Analyse Transactionnelle".
Les États du Moi peuvent se représenter sous deux formes différentes : le modèle Structural des États du Moi et le modèle Fonctionnel des États du Moi.
Vignette de Quand un patron choisit volontairement de laisser sa place à l'autre

Quand un patron choisit volontairement de laisser sa place à l'autre

Lors d’un séminaire dirigé par Jacques Moreau, nous avons réfléchi sur le cas d’un patron, d’un manager, qui choisit de quitter la zone de leadership et de laisser la place à un autre.

Plusieurs cas de figure

C’est un cas de figure qui se présente assez souvent, selon des modalités différentes. 
  • Il peut s’agir d’un chef d’entreprise qui, en raison de son âge avancé, laisse son fauteuil à son héritier, ce qui est coutumier pour les entreprises familiales 
  • Il peut s’agir d’un chef de service qui se prépare à la retraite et qui souhaite passer la main à son adjoint plusieurs mois avant son départ
  • Il peut s’agir d’un président d’association ou d’un dirigeant, élu ou désigné pour une durée déterminée, qui arrive en fin de mandat
  • Il peut s’agir d’un manager à la fin de son contrat, etc.

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