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La symbiose

La symbiose - Analyse Transactionnelle

La symbiose est un concept passionnant, vous pourrez utilement compléter cette lecture avec celle des articles sur la passivité et les méconnaissances.
Jeanne, héroïne de Une Vie ((G. de Maupassant, Une Vie, Folio, p.235)), reçoit régulièrement de son fils ce type de lettre :
Ma pauvre maman, je n'ai plus qu'à me brûler la cervelle si tu ne viens pas à mon secours (…) je dois 85 000 francs. C'est le déshonneur si je ne paye pas, la ruine, l'impossibilité de rien faire désormais. Je suis perdu. Je te le répète, je me brûlerai la cervelle plutôt que de survivre à cette honte. (…) Je t'embrasse du fond du cœur, c'est peut-être pour toujours. Adieu. Paul". Le Baron hypothéqua des terres pour se procurer l'argent qui fut envoyé à Paul. Le jeune homme répondit trois lettres de remerciements enthousiastes.

Guy Corneau

Guy Corneau a écrit un nouveau livre sorti au printemps dernier "Revivre !" (Les Éditions de l'Homme, 2011). Je ne l'ai pas lu mais j'ai assisté avec bonheur à l'une de ses soirées-conférence où, simplement et brillamment à la fois, il nous a fait part de la médecine qu'il a utilisée pour se guérir d'un cancer de dernier stade. En cela, il joint sa parole à celle de David Servan-Schreiber, et vous pourrez d'ailleurs lire le billet qu'il lui a dédié sur son blog. Retour au sens, à soi, à son corps, mémoire cellulaire et médecine énergétique, pour moi ces hommes sont, parmi tant d'autres, des pionniers courageux qui contribuent à changer profondément le regard que l'on porte sur soi, sur l'autre et sur le monde qui nous entoure, et ce dans les grandes largeurs.
Ce n'est donc pas un billet sur "Revivre !" que je vous propose, mais sur son précédent ouvrage "Victime des autres, bourreau de soi-même" (R. Laffont, 2003). Le titre le laissait supposer… et effectivement Guy Corneau fait référence, sans surprise donc mais avec justesse, à l'analyse transactionnelle. Plus précisément, au chapitre 7 intitulé "Le jeu de la victime et du bourreau",  il a recours aux concepts de positions de vie, et de jeux psychologiques (Triangle dramatique).
Si vous êtes intéressé(e)s par ces concepts, vous pourrez les découvrir ici dans une première présentation générale, avec quelques éléments simples pour éviter de rentrer dans le Triangle. Je ne vous en dis pas plus… à vous de jouer ! (enfin…)
Ah si, je retiens une excellente citation qu'il reprend d'Éric Berne sur une question qu'on me pose souvent : mais pour quoi jouons-nous ? Ici, j'aime répondre (sourire aux lèvres) : "pour occuper le temps", si je sais que le concept de structuration du temps n'est pas étranger à mon interlocuteur ou "pour tenter de résoudre, enfin, des séquences relationnelles archaïques pendantes" si je suis sûr que la notion de scénario est connue.
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Vignette de 1. La délicate subtilité de l'intimité…

1. La délicate subtilité de l'intimité…

La délicate subtilité de l'intimité en psychothérapie et des questions de révélation de soi
En d'autres termes, le rôle de l'analyste n'est pas défini par son invulnérabilité, mais par sa volonté constante (bien que non permanente), et sa capacité (bien qu'imparfaite) à accepter et gérer sa vulnérabilité.(D.B. Stern, 2004, p.216)
Ben et moi avions attendu anxieusement pendant plusieurs semaines les résultats d'une série d'examens. Le spectre du cancer semblait maintenant écarté. Plusieurs personnes de son entourage avaient attendu avec lui, l'accompagnant de diverses versions de « Oh, ce n'est probablement rien …. Tout ira bien ». Ces expressions se voulaient rassurantes, mais Ben les vivait comme dévalorisantes et conciliantes. Ben ne semblait pas avoir d'autres espaces, en dehors des séances avec moi, où exprimer ses sentiments d'angoisse, de choc, et son anxiété à l'idée de laisser ses enfants sans père.

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