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Vignette de Je n'ai pas peur de la mort

Je n'ai pas peur de la mort


C’est ce qu’a affirmé Nik Wallenda aux journalistes de l’AFP qui l’interrogeaient quelques heures avant sa traversée du Grand Canyon, le 24 juin 2013.
Une traversée de 23 minutes, contre les vents violents de la rivière Little Colorado, dans l'Arizona, à 450 mètres de hauteur, sans filet ni harnais de sécurité qualifié « d’exploit » par l’ensemble des médias ! Ça fait peur.
Cette semaine, je vous propose ma réflexion personnelle à propos de cet événement d’actualité.
Vignette de La peur de l'Autre

La peur de l'Autre

La peur de l'Autre - Surmonter l'anxiété sociale
La thématique abordée ici est celle du rapport à l'Autre. Paraphrasant le questionnement puissant d'Éric Berne "Que dites-vous après avoir dit bonjour ?", je pourrais dire que Laurie Hawkes s'intéresse ici à ceux :
qui disent "bonjour", mais pour qui ensuite le contact est enrayé par la peur,
Vignette de Le Pouvoir du coeur

Le Pouvoir du coeur


"Le Pouvoir du Cœur, Mieux vivre ensemble à l'ère virtuel grâce à l'analyse transactionnelle"
J'avoue que le titre m'intrigue beaucoup. Je sais que Claude Steiner est très présent sur le forum internet de l'ITAA, qu'a t-il bien pu écrire sur l'AT à l'ère virtuel… ? Voyons ce que nous dit son éditeur (InterEditions, 2010) :
"L'analyse transactionnelle est une théorie visionnaire : elle a non seulement apporté à la psychothérapie des outils extrêmement efficaces mais elle a également anticipé sur les questions qui sont aujourd'hui au cœur de nos préoccupations. »
Claude Steiner nous invite à bâtir des relations de compréhension et de coopération réciproques. Il montre comment l'AT nous offre les outils nécessaires à l'établissement de transactions positives et démocratiques.
Vignette de Entre les murs

Entre les murs


Quelques mots d'abord pour ceux qui ne sont pas familiarisés avec la notion d'analyse de la pratique professionnelle. Il ne s'agit en aucune façon de juger ("Peut mieux faire"…) mais de porter un regard sur l'expérience vécue par le "client" afin qu'il puisse s'en servir pour son propre développement professionnel, voire personnel. C'est une démarche qui implique notamment le refus de se réfugier derrière la position de l'adulte, du sachant qui a forcément raison face à des adolescents (et d'écarter cette alternative tort/raison). Il n'est pas question de critiquer la pratique de François (d'autant qu'il s'agit d'un docu-fiction où tout a été scénarisé) mais d'observer ses apports personnels dans les séquences relationnelles avec ses élèves. Il va donc être beaucoup question de François… mais "l'analysé" c'est lui, pas les élèves !

Il est sûr que l'enseignement n'est pas un métier facile, surtout dans les conditions dures dans lesquelles il est parfois pratiqué et tout ne dépend évidemment pas que du professeur… mais pour une partie oui.
L'idée est la suivante : le rapport professeur-élève est à double niveau, le contenu (la transmission d'un savoir) et la relation (un professeur et un élève en interaction). Ce qui est demandé à l'enseignant, ce pour quoi il a été formé et sur lequel il est évalué prioritairement c'est la transmission d'un savoir : mais voilà la qualité de cette transmission dépend en grande partie de la nature de la relation. Il est sûr par ailleurs que l'élève, particulièrement à l'adolescence, est en demande de "nourriture relationnelle" : recherche de limites, rapport à l'autorité, modélisation, repères, etc. : voilà ce qui va à la fois confronter l'enseignant et l'enrichir : en prenant comme sujet d'analyse la "nourriture relationnelle" qu'il apporte, sa part de l'interaction, l'analyse de sa pratique va lui permettre d'apprendre de ses élèves et d'enrichir sa qualité relationnelle. Tout comme il peut également apprendre à décrypter les signaux (verbaux, para et non verbaux) que ses élèves lui adressent.

Driver Fais Plaisir

Le spectre qui hante la vie des « Fais plaisir » est celui des Autres. M. ou Mme « Fais plaisir » ne trouve son propre plaisir que dans le besoin impérieux de satisfaire celui d’autrui.
Son objectif : « s’occuper du mieux possible des personnes qui les entourent »…
A force de vouloir contenter, satisfaire tout le monde, au risque de s’oublier eux mêmes, ils finissent par se mettre dans une situation compliquée et finissent même parfois par mécontenter les autres. (Voir ces personnes qui ne savent pas dire non, sur les secrets de Pierre COCHETEUX)
Voilà pourquoi le « Fais plaisir » passe son temps à s’occuper des autres, à leur rendre service, à les conseiller quitte à devenir  un « Sauveur dramatique ».

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