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Cinq mythes à propos de l’ analyse transactionnelle.

L’analyse transactionnelle est une théorie élaborée dans les années 1950 par le Docteur Éric Berne, psychiatre qui souhaitait mettre en place une nouvelle approche psychothérapeutique.
Si l’analyse transactionnelle possède de remarquables qualités et qu’elle propose également des grilles de lectures des comportements humains d’une grande pertinence, elle fait également l’objet de critiques régulières, plus ou moins fondées.
Parmi les critiques les plus couramment rencontrées, voici cinq idées reçues à ne pas croire à propos de l’Analyse Transactionnelle

1 - L’analyse transactionnelle est un outil de communication

Les méconnaissances en analyse transactionnelle

Le concept des Méconnaissances a été créé par Aaron et Jacqui Schiff au début des années 1970 et approfondi par Ken Mellor et Éric Schiff
(Passivité , Classiques AT, Editions AT, Vol. 2, p. 139) - Méconnaissances , ibid., p. 151). 

C'est un concept qui, une fois encore, est en lien avec l'intrapsychique et le comportemental. Il s'avère très efficace dans un certain nombre d'applications, notamment pour la résolution de problèmes.
  • Commencez par ce savoureux extrait :
Là-dessus ils découvrirent trente ou quarante moulins à vent qu'il y a en cette plaine, et, dès que Don Quichotte les vit, il dit à son écuyer : "La fortune conduit nos affaires mieux que nous n'eussions su désirer, car voilà, ami Sancho Pança, où se découvrent trente ou quelques peu plus démesurés géants, avec lesquels je pense avoir combat et leur ôter la vie à tous, et de leurs dépouilles nous commencerons à nous enrichir : car c'est ici une bonne guerre, et c'est faire grand service à Dieu d'ôter une si mauvaise semence de dessus la face de la terre.
- Quels géants ? dit Sancho.

Les besoins de base en analyse transactionnelle

Voici trois situations, n'hésitez pas à prendre le temps de les lire et de les imaginer :
  • Vous vous étiez endormi et à présent vous ouvrez les yeux. Il fait totalement noir, vous n'entendez pas un bruit, vous êtes seul et vous ne savez pas où vous vous trouvez. Lorsque vous étendez les bras autour de vous, rien. Vous vous levez, faîtes quelques pas prudents, mais toujours aucun autre contact que le sol dur. Au bout d'un moment, vous risquez un appel : personne ne vous répond. Ça fait longtemps maintenant que vous marchez, mais tout est désespérément noir et vide… Et puis tout à coup, toujours dans le noir et le silence, vos mains viennent se poser sur ce qui semble être un mur ! Vous décidez de le suivre : vous n'êtes peut-être pas entièrement rassuré, mais déjà vous allez mieux (A. Crespelle, Grandir avec le client, CD).
  • À présent, vous êtes dans une pièce aux murs blancs (où noirs mais c'est pour changer un peu), éclairée par l'électricité, dont vous ne distinguez pas les contours. Personne d'autre que vous. Et pas un son ne parvient à vos oreilles. Aucune odeur. Pendant longtemps. Vos yeux sont éblouis par tout ce blanc sans contraste, vos mains endolories à force de ne (quasiment) rien toucher. À un moment, là encore vous ne vous sentirez probablement pas très bien. C'est d'ailleurs ce qu'on appelle la torture par la privation sensorielle.
  • Cette fois, vous êtes au grand jour, dans une rue… et vous n'êtes pas seul ! Chouette des gens ! Sauf que étrangement personne ne vous regarde, ne fait attention à vous. Étrange… Vous faîtes un sourire, personne ne vous le rend, vous demandez l'heure, la personne passe son chemin comme si de rien n'était… Vous avez alors la désagréable sensation d'être transparent(e), voire de ne pas exister (A. de Louise, conférence).
Voilà, c'est tout ! Détendez-vous, prenez une grande respiration et… voyons la suite.

La Passivité en analyse transactionnelle

La passivité, telle qu'elle vous est présentée ici, fait partie du triptyque Passivité, Méconnaissance et Symbiose conçu par Aaron et Jacqui Schiff dans le courant des années 1970.
Voici une illustration de l'une des formes de passivité :
[Linda s'apprête à quitter son mari et l'interpelle :]Harry, est-ce que cela te laisse indifférent ? - Il aurait tant voulu lui tendre la main, lui demander - la supplier - de ne pas partir, mais il se sentait sans force, accablé de douleur et de désespoir, en proie à un découragement incompréhensible et pitoyable qui s'était abattu sur ses épaules et l'étouffait peu à peu, tel un serpent. Il sentait son regard posé sur lui, et, plus il fixait le sol, plus il se sentait incapable de lever la tête vers elle et de la regarder en face. Linda attendit ses protestations d'innocence pendant une éternité, mais, devant son mutisme, elle se décida finalement à agir. Elle alla dans la chambre, mit rapidement quelques affaires dans une valise (…). Pendant qu'elle faisait sa valise, Harry l'entendit respirer, soupirer, aller et venir, puis il sentit sa présence à ses côtés et son regard posé sur lui, sentit qu'elle s'éloignait, entendit la porte se refermer et la voiture s'éloigner… Il n'y eut rien pour l'empêcher de partir. Et il n'y eut rien pour l'empêcher, lui, de rester assis. De fixer le sol. (Hubert Selby Jr, Le démon, 10/18, p. 259)

Qu'est-ce que la Passivité ?

Comment mémoriser avec l'Analyse transactionnelle

Comment mémoriser avec l'Analyse transactionnelle ?

Les stratégies de mémorisation comprennent l’ensemble des techniques permettant à une personne de retenir, de stocker, puis de restituer des informations dont elle aura besoin plus tard. Il n’y a, à priori, pas de lien entre ces deux univers : celui de la mémoire d’une part et celui de l’analyse transactionnelle de l’autre.
Le but de cet article est d’établir des ponts entre ces deux univers, afin de montrer comment une personne peut utiliser l’analyse transactionnelle dans le but d’améliorer sa mémoire.

Cinq étapes sont nécessaires au bon fonctionnement de la mémoire :

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